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TEMOIGNAGE Mon ekilibre kinésiologie  kinésiologue Quimperlé peur phobie anxiete bien etre calme serenite depression stress deprime Lorient

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Temoignage CS

Travailler avec Sonia a été un grand plaisir et une aide précieuse pour asseoir la confiance en moi. Bienveillante, chaleureuse et à l’écoute j’ai trouvé en Sonia une alliée pour me sentir mieux.

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Sonia est une personne sérieuse et travaille avec son coeur ! elle a suivi ma fille en séance et a su l'accompagner et lever les freins dans son projet d'échange scolaire à l'étranger. Je la recommande sans hésiter. Dommage qu'elle ait changé de région et tant mieux pour les bretons 😉

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Travailler avec Sonia a été un grand plaisir et une aide précieuse pour asseoir la confiance en moi. Bienveillante, chaleureuse et à l’écoute j’ai trouvé en Sonia une alliée pour me sentir mieux.

Témoignage Google pour Mon Ekilibre Kinésiologie

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Avis sur Google - kinesiologie mon ekili
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J'ai fait appel à cette kinésiologie qui est très pro, cela a permis à me liberer sur différents blocage que j'avais.
Un grand sens de l'écoute, un grand Professinaliste, alors juste un mot foncer sans hésité!!!

temoignage corinne triki kinesiologie mo

Bonjour
C'était ma première séance de kinésithérapie et c'etait très bien
Sonia ne compte pas son temps et est très à l'écoute
Je me suis sentie sereine

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Je fais appel et utilise depuis 15 ans les services de kinésiologues et là, j'ai trouvé une grande professionnelle. Kinésiologue compétente et empathique dotée d'une grande qualité d'écoute. Ses séances me font le plus grand bien.

Des soucis de thyroïde qui influent beaucoup sur'mon moral m ont conduit à venir voir Sonia qui m a énormément apporté. Elle a également aidé mes filles sur le travail de confiance en soi et les aides encore à passer le cap de l anxiété de l adolescence.

J’ai fait des séances de kinésiologie avec Sonia Duchateau pour me préparer à des examens importants, (concours, permis de conduire). Cela m’a permis d’arriver calme et serein. Elle m’a donné aussi des petits exercices pour calmer le stress pendant l’examen. J’ai travaillé aussi avec elle l’arrêt du tabac. Je l’ai trouvé très à l’écoute, douce, et compréhensive. Je n’hésiterai pas à faire appel à elle si le besoin s’en fait sentir.

Témoignage Sophie

Témoignage de Sophie

Pourquoi moi ? ……………Pourquoi nous ? ……………

Cela parait si simple d’être enceinte. Ne dit-on pas « tomber enceinte », parfois c’est plutôt « tomber de haut ».

Le verdict est là, poser cruellement sur la table : Infertilité. Nous n’avions pas le droit d’être PARENTS.

Commence alors un long parcours. L’infertilité (qu’elle soit d’ordre physiologique ou psychologique) a déclenché en moi un véritable tsunami, un tel remue-ménage dans mes émotions : colère, abattement désespoir, et envie d’y croire encore, envie de me battre sans en avoir la force, un océan de contradiction.

Comment accepter de dire non à l’avenir que j’avais espéré, fonder une famille, ne pas rester un couple uniquement, avoir des bébés. Il fallait une solution, face à l’inacceptable pour NOUS. Enfin, arrive la réponse qui est salvatrice sur l’instant….     (Et que l’on remercie bien plus tard quand tout est gagné)

Nous ne voulions plus être que deux, alors là bingo, c’est gagner, le gros lot, la totale. Nous ne serons plus DEUX dans notre couple. Ce sera plutôt un ménage à trois, voire 4, voir + encore : culpabilité, le traitement hormonal, rejoint par l’échec, l’attente interminable. L’acte d’amour devant donner naissance à un miracle, se transforme alors en un acte contrôlé, dicté, une roulette russe chaque mois. Avec le même tsunami émotionnel qui a suivi l’annonce... Nous devons des fantômes dans notre propre vie… Comment réussir à prendre le recul nécessaire, pour être de nouveau dans l’espoir, lâcher prise, parfois simplement survivre… Cette attente a fait partie de mon quotidien, nous avons traversé cette terrible épreuve, seuls, car nous n’avons pas osé nous tourner vers quelqu’un, et nous n’avons pas osé franchir le pas…. Probablement par peur du regard des autres et l’éternel sentiment de culpabilité et de honte. Nous étions déjà dans la ligne de mire, « bientôt 30 ans, et vous n’avez toujours décider d’avoir un bébé », « attention l’horloge biologique » et j’en oublie tellement d’autre…

Cette douleur émotionnelle et physique, je l’ai portée pendant des années (à défaut de porter un bébé) … Mon utérus s’était contenté de dire NON (je n’avais entendu que cela).

Ce parcours (classique malheureusement), une fausse couche, une grossesse extra-utérine, accompagné de complication gynécologique.  Je voulais tellement être maman, c’est ma vie, comment atteindre mon saint graal. J’ai tout de même beaucoup chance, j’aurai pu perdre cette vie. Après quelques tentatives, enfin je suis ENCEINTE. Un court répit, un peu de place pour la joie, et de nouvelles pensées négatives pointent leur nez…. Un nouveau cauchemar commence…. La fausse couche que je pensais avoir guérie revient au galop…. Pas de place pour l’euphorie… Et s’il mourrait… s’il m’abandonné… Je ne dois pas être à la hauteur… Je ne le mérite pas… Évidemment, pour me rassurer, mon utérus fait de nouveau des siennes, des contractions terribles à peine trois mois de grossesse. Après 34 semaines d’attente angoissante, je perds les eaux, comment expliqué, alors que j’accouche prématurément, que ce soit le seul moment de la grossesse où j’ai eu confiance en mon bébé. Petit bébé, en siège, pas de passage, l’accouchement se fera par césarienne. Ma bonne étoile est là… il respire seul. Mon miracle est là, pas avec moi, car il est directement emmené en néonat, j’aurai la chance dans quelques heures (bien trop longue naturellement) de le prendre dans mes bras. J’ai gagné mon combat, j’ai mon saint graal, j’ai mon bébé. Il a 22 ans maintenant, c’est toujours mon miracle. Je pensais à ce moment-là être guérie, que ce merveilleux cadeau avait tout effacé. J’avais envie d’un autre enfant, parfois notre parcours de vie en décide autrement. Je n’avais surtout pas le courage de repasser par la case : « on va vous aider à faire un bébé », cela était trop pour moi. J’avais décidé de faire confiance à la nature, je le criai haut et fort, mes blessures étaient trop présentes pour tenter quoique ce soit. Et soudainement, sans crier garde, un nouveau bébé se présente, on l’a fait tout seul ;-). Dame nature est souvent très généreuse. J’avoue avoir ressenti une grande fierté, et mettre réconcilier avec mon utérus. Il était enfin sympa avec moi. J’allais être une vraie femme, sans l’aide de personne. Quelle chance d’avoir encore le droit à mon Saint Graal. Repos total dès le premier mois de grossesse, je couve bien tranquillement mon bébé… Et un midi, hémorragie au 5eme mois de grossesse, le couperet tombe, mon bébé est mort, son cœur ne bat plus, dans la froideur de l’hôpital, sans autre forme de procès, mon utérus m’a encore lâché. En une fraction de seconde, toutes les émotions que j’avais cru envoler viennent frapper à la porte, et me submergent. Je ne suis pas la seule dans l’œil du cyclone, mon mari et mon fils sont anéantis. Une fois encore, j’enfouis le tout, je ne veux pas parler, un peu comme si ses émotions terribles me gardaient vivantes, me permettait de vivre, ou survivre… Je n’étais que l’ombre de moi-même, heureusement j’avais mon fils. Encore aujourd’hui, bien des années plus tard, et après avoir déposé mes bagages, et fait le tri dans mes émotions, je pense à mon ange, à mon second fils. L’abime semble moins intense, mais mon amour pour lui est toujours immensément grand, et bienveillant envers moi. Après cette nouvelle défaite, mon gynécologue m’a proposé de refaire un traitement. Le désir d’enfant que j’avais enfouis au fond de moi, était à nouveau présent, ravivé. Malheureusement je n’avais pas la force de jouer le jeu. Je voulais me laisser le temps de cicatriser, tant pis pour l’horloge biologique ; Il y allait de ma propre survie. Et là encore, dame nature en a décidé autrement, quelque mois plus tard, j’attendais un autre bébé. La joie a été courte, pas d’euphorie, juste l’angoisse insidieuse tout le temps de la grossesse, et la culpabilité de faire subir cet immense stress à mon bébé. Le terrible sentiment de ne pas avoir le droit de me réjouir. Être heureuse c’était comme si je ne donnais pas la chance à mon bébé de vivre. Je ne travaillais pas, repos total, j’avais bien le temps de penser. Je demandais sans cesse pardon à mon bébé, je lui expliquais que j’avais peur, pourquoi je n’avais pas confiance, il a été très compréhensif, d’une grande douceur, me rassurant régulièrement, me montrant sa présence, finalement c’est lui qui me couvait. Je ne connaissais pas la kinésiologie à ce moment-là, je l’ai rencontré que plus tard. Sonia m’a confié que les enfants montraient le chemin aux parents pour guérir leurs blessures. Mon petit bout est né à 8 mois, un garçon, un nouveau Saint Graal, un nouveau miracle. Enfin dehors, je pouvais être rassurée, et vivre dans la joie ma nouvelle maternité. Après cela plus question pour moi de prendre le risque d’une nouvelle grossesse, j’avais envie d’un autre enfant, un désir énorme, mais ma raison faisait taire mon cœur et mon corps. Pour être sûre qu’ils restent bien muets, j’ai fait poser un stérilet, oui pour une femme dite « stérile », ma croyance était sommes toute limitée en ce fameux, diagnostic ! J’avais fermé la porte, tout du moins je le croyais. Je ne voyais pas comment trouver la force morale, malgré cette énorme envie, de faire taire les vieux démons qui m’habiter toujours. Comment parler, comment livrer mes tourments, comment poser mes bagages, pourquoi revivre ce passé, cela me semblait plus facile de fermer à double tours le coffres de ma tristesse, que de l’affronter. Mais encore une fois, et heureusement mon cœur et mon corps ont été plus fort, je suis à nouveau « tombée enceinte », et oui sous stérilet. Comme quoi « le cœur à ses raisons que la raison ignore ». Evidement j’ai joué le même scénario, angoisse, contraction, peurs, demande de pardon… Pour être sûre d’être bien angoissée, j’ai eu un décollement placentaire à 3 mois de grossesse, saignement, panique… le petit bout de chou qui était venu à ma rencontre vivait, son cœur battait, il me voulait comme maman. Un nouveau miracle a vu le jour au bout de 8 mois, une petite fille. Un merveilleux cadeau, d’autant plus beau qu’elle m’a permis d’enfin lâcher prise, l’angoisse était telle, elle m’étouffait, je sombrais… Une amie m’avait parlé de la kinésiologie, j’ai appelé, hésité à me rendre au rendez-vous. J’ai rencontré Sonia, j’ai pleuré beaucoup, elle m’a aidé à poser mon fardeau, et enfin prendre conscience que « j’avais le droit d’être heureuse ». Après cela, j’ai enfin pu profiter du bonheur d’être une maman. Merci 

Témoignage Louis
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Merci 

Je vous remercie pour ce cadeau du coeur, n'oubliez pas, que la guérison est en vous. Votre parcours est courageux Sophie. Je suis heureuse d'avoir partagé votre chemin de vie et d'avoir pu vous aider à vous réalisé. Profitez bien de votre famille, soyez tous heureux.  

Sonia 

Témoignage de Louis et sa maman

Je suis maman d’un garçon dyslexique et dysorthographique. Il a été testé à l’âge de 6 ans. L’apprentissage de la lecture a été laborieux, fatiguant voir même épuisant, pour lui et pour le reste de la famille. Nous avons comme beaucoup de parents, mis en place le protocole habituel : orthophoniste, psychomotricienne, neuropsychologue. Un emploi du temps de ministre pour notre fils, en plus de période de devoirs longues et stressante. Malheureusement pour Louis, il a eu aussi deux institutrices manquant d’écoute et d’empathie. Jusqu’en CM2, l’école n’était pas un plaisir. Un jour une « maman » de l’école m’a conseillé la kinésiologie. Sa fille souffrait de dyscalculie et elle était suive par Sonia. Je m’étais aperçue que la petite était beaucoup plus souriante depuis le début de l’année. Je savais que cet enfant avait aussi des difficultés, puisqu’elle était dans la même classe que mon fils depuis le CP. J’ai pris alors un rdv. Louis lors de la première séance a eu un remodelage de latéralité, et un exercice à faire tous les jours (environ 5 minutes) pendant 1 mois. Je l’ai trouvé rapidement plus concentré, mais parfois en tant que parents nous ne sommes pas objectifs. Je participais parfois aux sorties de classe, la maitresse de mon fils m’a fait remarquer qu’il était plus attentif, il finissait d’écrire en même temps que tout le monde, il était plus participatif. J’étais ravie et heureuse pour lui. Je ne faisais pas le rapport immédiatement avec la séance de kinésiologie. Mais la même semaine, l’orthophoniste, la psychomotricienne, et la neuropsychologue me faisaient la même remarque. J’ai alors compris que cette séance l’avait aidé bien au-delà de nos espérances. Lui-même avait ressenti le mieux-être, il se sentait moins fatigué, et il trouvé cela facile de faire ses devoirs. Je suis comme mon fils j’ai les mêmes troubles, j’ai donc fait aussi des séances, ce fut aussi un véritable soulagement, je me sens mieux, j’ai confiance en moi, je ne crains plus d’envoyer un courrier. Mon fils a eu plusieurs séances (4 en tout), il s’épanoui de jour en jours. Il est au collège maintenant, il adore l’école. Les devoirs en 5éme c’est 30min maxi, avec 15.5 de moyenne générale. Son professeur de français, estime même que son orthographe est de meilleure qualité que des camarades sans difficultés, il dévore des livres, et écrit des nouvelles et des BD. Les spécialistes qui l’ont accompagné, ont posé des bases, la kinésiologie l’a libéré et épanoui.

Montage réalisé par Louis avant la kinésiologie pour expliquer comment il vit ses difficultés

Témoignage de Louis  12 ans :

Depuis que j’ai vu Sonia, je me sens mieux, je me concentre plus en classe, j’écris plus vite grâce aux huit de l’alphabet, je réussis mieux mes contrôles. Cela m’a libéré de mes problèmes dys et autres. J’aime bien aller voir Sonia.  Les exercices que Sonia m’a donnés m’ont permis de mieux réussir dans la scolarité. Merci Sonia.

Merci A vous 2

Je vous remercie pour votre confiance. J'ai beaucoup aimé travailler avec Louis, c'est un enfant extra. Il a tellement changé. Sa vidéo m'avait fortement émue. je suis heureuse de le voir sourire et vivre avec autant de plaisir. 

Sonia 

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